Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • "Le Bassin broie du noir" de Fabrice Duffour (latitude Sud)

    4ème de couverture :

    Le port d'Arcachon est en effervescence lors de la mise à l'eau d'un magnifique yacht, fierté d'un chantier local. Jusqu'à la découverte du cadavre de cette jolie femme noire qui alimente toutes les discussions de comptoir, de l'Aiguillon.
    Sébastien Vermuch va mener l'enquête dans la communauté sénégalaise des pêcheurs dont il découvre l'existence au coeur de ce quartier animé de la station balnéaire. Quel peut être le lien entre ces hommes et ces femmes - si ce n'est leur couleur de peau - qu'une force irrésistible pousse au suicide.
    Sébastien va mettre à profit son réseau local de connaissances, Loulou le restaurateur incontournable mais aussi le truculent ostréiculteur Joël, pour faire sortir de sa coquille un terrible secret.
    À peine installé dans le bateau, Andreï est pris à la gorge par une odeur pestilentielle. La même que celle de la semaine dernière, mais nettement plus forte. L'odeur a envahi tout le bateau, elle est devenue insoutenable ! Les employés quittent les entrailles du navire les uns après les autres, livides, certains se penchent par dessus bord ne pouvant réprimer leur envie de vomir...

    Lire la suite

  • Putzi, le pianiste d'Hitler de Thomas Snégaroff (Folio)

    4eme de couverture :

    "Etais-tu un monstre, Putzi ? Étais-tu un clown ?Faut-il choisir ?"Il mesurait deux mètres, mais on le surnommait Putzi, "petit bonhomme". D'abord marchand d'art à New York, Ernst Hanfstaengl devient, dans les années 1920, le confident et le pianiste d'Hitler. Sans son soutien, le Führer ne serait sans doute jamais devenu celui qu'on connaît. Putzi lui offrit de l'argent, des relations, et des airs de Wagner. Jalousé par les nazis, cet homme excentrique crut en son destin. Il n'obtint que la disgrâce. Et une chance de rédemption : réfugié aux États-Unis, il servira d'informateur à Roosevelt...Son histoire tragique, burlesque, nimbée de mystère - où l'on croise aussi bien Goebbels que Carl Jung ou Romy Schneider - est celle d'un héros de roman."

    Lire la suite

  • "Les roses de la nuit" d’Arnaldur Indridason (Métaillé Noir)

    Un petit Indridason est toujours pour moi une petite récréation, le récit n’est pas trop noir, enfin il y a un crime tout de même, et ça sent le nord.

    Pour celui-là, effectivement c’était une récréation eu égard aux derniers livres lus un peu durs et consistants (Triste tigre, free queens et le temps bleu notamment).

    Lire la suite