"La sorcière écarlate" de Laurie Lico Albanese (Hauteville)

4ème de couverture :

"Salem devait être un nouveau départ, un endroit où l'odeur piquante de la cannelle et du thé parfumerait l'air d'espoir ; où les couleurs seraient en sécurité, vivantes, en moi. J'avais dix-neuf ans, et Nathaniel Hawthorne vingt-quatre lorsque nous nous rencontrâmes dans ces rues de briques. C'était en l'an 1829, et nous luttions tous deux, chacun à notre manière, pour être libres - lui avec ses carnets, moi avec mon aiguille.Brodeuse aux doigts de fée, Isobel Gamble descend d'une lignée de femmes qui possèdent toutes un don exceptionnel : celui de percevoir la couleur des lettres et des sons. Très tôt, elle apprend à le cacher, pour ne pas être, comme ses aïeules, accusée de sorcellerie. Contrainte de fuir en Nouvelle-Angleterre avec son mari, Isobel se retrouve rapidement seule à Salem. Son destin croise alors celui du jeune Nathaniel Hawthorne, un écrivain hanté par le rôle de ses ancêtres lors des tristement célèbres procès de sorcellerie..."

"Plus loin que l'hiver" d'Isabel Allende (Grasset)

Dans le cadre du challenge latino chilien de jelisjeblogue, voici une auteure qui me réconcilie avec ce pays ou plutôt avec ses auteurs. (car j'ai très envie de découvrir le pays)

"Sur la dalle " de Fred Vargas (Flammarion)

Retrouvailles cette fois-ci avec une auteure que j’avais un peu oubliée. Ses derniers romans ou le dernier je ne sais plus, ressemblaient trop aux premiers, je me lassais de ce commissaire atypique et des ressorts de l’intrigue qui me semblaient un peu trop similaires aux livres précédents.
Et puis, un peu par hasard, j’ai replongé. J’ai redécouvert l’équipe d’inspecteurs avec intérêt ainsi que le commissaire Adamsberg, personnage atypique dont personne ne comprend la façon de faire. Il est envoyé en province, dans un petit village où un meurtrier sévi. L’équipe de police se renforce avec un commissaire local ainsi que des agents sur place. Une auberge va servir de quartier général tandis que plusieurs meurtres vont être commis et des histoires s’enchevêtrer.
Bien sûr, c’est Adamsberg qui va démêler l’écheveau des mobiles et des preuves que l’on connaîtra dans les dernières pages.
Je dois dire que cette fois-ci, je ne me suis pas ennuyée même si j’ai eu le sentiment vers la fin que l’on tournait en rond et que le dénouement aurait pu être plus rapide.
J’en relirai un autre dans une petite dizaine d’années !

PS : J'aime beaucoup la couverture en noir et blanc.

Avis de sibylline